Architrave - revue professionnelle des architectes
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    • Le CoDT entre en vigueur le 1er juin - Plusieurs propositions importantes de l’UWA sont intégrées dans le Code
    • Le Code du Développement Territorial remplacera donc officiellement le CWATUP. Une entrée en vigueur attendue de pied ferme par le secteur et suivie de près par l’UWA.
    • AT191 - 02 / 2017 - P24-25
    • [PDF]
    • Une pépite architecturale magnifie la nature scandinave
    • Sur un site spectaculaire bordant le Parc national norvégien de Dovrefjell, à 1250 mètres au-dessus du niveau de la mer, le pavillon Tverrfjellhytta est tourné vers le massif de Snøhetta. Ce point de vue de 75 m² offre un abri aux groupes scolaires et aux visiteurs. Avec son enveloppe transparente et son cœur en bois, l'édifice magnifie la splendeur naturelle environnante.

    • AT191 - 02 / 2017 - P30-32
    • [PDF]
    • Entre risques et incertitudes
    • L'architecte est un gestionnaire de risques ; son métier et son art, au service d'un maître de l'ouvrage, doivent s'accommoder de contraintes techniques, juridiques et administratives. Certaines peuvent être décelées mais d'autres demeurent difficilement quantifiables, voire identifiables au moment où l'architecte se livre à une étude de faisabilité dans le contexte de l'avant-projet.

      L'architecte ne réalise pas le projet tout seul comme le ferait un artiste devant sa toile. Il doit enregistrer des paramètres largement tributaires des tiers qui interviendront dans le processus de la construction : le maître de l'ouvrage aura-t-il les fonds disponibles en temps utile ?
      Exigera-t-il des modifications en cours d'exécution qui ne sont pas prévisibles ?
      L'entrepreneur restera-t-il solvable jusqu'à la réception et même après ?
      Est-il réellement compétent et diligent et disposera-t-il en tout temps des accès à la profession ?
      Comment réagiront les voisins ?
      Quelles seront les performances énergétiques incontournables ?
      A quoi faut-il s'attendre de la part du service d'incendie ?
      Et si le projet doit être soumis à une Commission de Concertation, à quoi peut-on s'attendre ?
      Ces questions pointées au hasard et bien d'autres génèrent non seulement des risques, mais surtout des incertitudes, c'est-à-dire une ignorance involontaire et compréhensible du futur.

    • AT191 - 02 / 2017 - P38
    • [PDF]
    • Le béton coloré
    • Auteurs de projet, architectes, maîtres d'ouvrage, tous le savent : la couleur du béton ne doit pas toujours se cantonner au gris. Jouer avec la couleur et la texture de la surface permet de valoriser un produit ou un ouvrage en béton, non seulement du point de vue de ses propriétés fonctionnelles, mais aussi de son aspect décoratif. Si colorer du béton frais par l'addition de pigments est une technique simple, le procédé soulève de très nombreuses questions sur la manière d'obtenir telle ou telle teinte ou couleur. En effet, d'autres paramètres influencent l'aspect final du béton. Parmi eux, citons le facteur eau-ciment du béton, les types de sable et de ciment utilisés, ainsi que le processus de malaxage. Une autre source de préoccupation concerne l'évolution de l'aspect de la surface du béton à travers le temps. Les salissures et le vieillissement jouent un rôle important à cet égard, mais la question la plus récurrente est sans nul doute la suivante : pourquoi les couleurs s'atténuent-elles parfois avec le temps ? Pour y répondre, nous reviendrons sur quelques notions de réflexion et de diffusion de la lumière et sur une analyse microscopique du béton. Cette publication se penche sur ces différents aspects du béton coloré dans la masse et explicite brièvement les possibilités de mesure et d'évaluation colorimétriques.
    • AT191 - 02 / 2017 - P44
    • [PDF]
    • Paysages de pierre
    • Ils vivent à l'abri de nos regards. Accrochés aux pentes des collines, ourlant des berges de ruisseau, délimitant d'un trait au sol le cadastre des campagnes ou des villages, ils sont les témoins de pratiques traditionnelles, parlent aux géologues, aux archéologues, et à bien d'autres passions... Ils vivent en symbiose avec des lézards, des grenouilles, des abeilles solitaires mais aussi des fougères, des mousses et des lichens. Protégés par de la terre mais plus souvent cachés par le lierre conquérant, il faut les chercher pour s'apercevoir qu'ils n'ont pas totalement disparu. Loin de là d'ailleurs ! Et si, curieux, on s'aventure à soulever délicatement cette couche végétale bien dense, le paysage se transforme en un instant. Les murs en pierre sèche existent, autrement que dans les cartes postales en noir et blanc ou les vieux livres de géographie. Ils sont là. Ils n'attendent que notre intérêt pour revivre, et avec eux une nature diversifiée, protégée et des paysages magnifiés.
    • AT191 - 02 / 2017 - P50
    • [PDF]
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Editeur de la revue Architrave
En association avec l'Union Wallonne des Architectes
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